
Près de 300 personnes provenant de divers groupes de Montréal ont participé à la Commission populaire pour l’action communautaire autonome. Les 13 témoignages ont mis en lumière le travail accompli auprès de la population, mais aussi les difficultés rencontrées à cause du sous-financement chronique en provenance du gouvernement du Québec.
Le mouvement communautaire prend diverses formes : groupes de soutien, ateliers d’information, soupes populaires, hébergements d’urgence, proches aidant-es, etc. La population n’a pas les moyens de se passer du travail accompli par ces milliers de groupes au Québec. Comme le note le Mouvement PHAS, « le réseau de la santé et des services sociaux interpelle de plus en plus ces derniers en les considérant comme une première ligne, pour avoir de l’information, solliciter des services, soutenir des familles, etc. »